vendredi 21 décembre 2007

Je suis une idiote (et je vous remercie de ne pas plussoyer.)

Bidou Bidou.

Hier j'étais possédée. Je ne vois que cette explication. Mais qu'est ce qui m'a pris ?

Pour tout ceux qui ne lisent pas (encore) dans mes pensées, je développe : je ne sais pourquoi il m'a pris l'idée d'envoyer mon cv à la Chambre des Notaires des Pyrénées-Atlantique et des Landes.

J'avais déjà fais la même démarche auprès des Chambres de la Vendée et de la Loire-Atlantique, sans avoir de réponse.

Je me croyais tranquille.

QUE NENNI ! Deux propositions d'emploi dans l'après-midi même !

Je devrais être contente je sais, voire même flattée... J'ai plutôt l'impression qu'ils sont désespérés, et ça, ça veut dire que les clercs les ont lâchés, donc que de sont des mauvais patrons (le terme exact auquel je pensais est : "connards", mais je suis trop polie pour l'écrire).

Il s'avère que :

1 - La première étude est située trop loin (50 Km ) et surtout que ce sont les vils faquins qui ont poussés ma belle-soeur (pourtant adorable, patiente et compétente) à démissionner parce qu'ils étaient odieux.
Donc je ne suis vraiment pas tentée de leur répondre. Qu'ils souffrent ! *pouce baissé, vers le sol*

2 - la deuxième étude est située dans la même ville que là où bosse mon choupi chéri que j'adore, et est celle où travaille ma belle-soeur (toujours adorable, patiente et compétente).
Et ça ça me stresse énormément. Travailler en famille.

C'est déjà pas facile de travailler, surtout quand on a arrêté depuis 6 mois, mais avec quelqu'un qu'on voit en dehors, qui nous connait bien, et qui a énormément d'influence sur son amoureux....

Si je fais une bourde, que va t'elle penser de moi ? Et si ça lui retombe dessus ? (je sais normalement ça devrait pas, mais avec les patrons ont ne sait jamais !).

Toutes ces questions me taraudent, malgré les assurances de Jibé (mon choupi d'amour), et les coups de pied au cul de Claire (une vraie amie qui n'hésite pas à m'engueuler quand je m'apitoie sur mon pas triste sort).

Allez y, jetez-moi des pierres !