Bidou bidou...
Ce soir je déprime, je suis déçue, je suis triste...
Mais avant tout, pour rester un tantinet cohérente, un petit bond dans le temps s'impose.
*Bdoiinnng* (oui, oui, un bond dans le temps ça fait ce bruit là, parfaitement !).
Italie, Assises, juillet. Il fait beau et chaud (sauf quand il pleut), l'hôtel est niché dans la vieille ville, entre les murs d'enceinte, des ruelles pavées serpentent...(mais y'a une saleté de piaf dans la maison d'en face qui crie tout le temps).
Antipasti, pizza, pasta, gelata, cappucino...tout est délicieux.
Le ciel est si bleu, la ville, médiévale et magnifique.
C'était biiiiieeen !
Petites photos :
Ouais je me la pète ouais, et alors ? Tu veux te battre ?
Après ce petit retour nostalgique au temps du bonheur, revenons à ce jour, et laissez moi me plaindre de mes malheurs de petite fille privilégiée.
Vous êtes encore là ? Très bien.
Alors mes malheurs : nous avons décidé d'acheter un appartement, un T3, le marché se disposant à de bonnes négociations, et donc à la possibilité de faire une bonne affaire.
Après quelques semaines de recherche (au moins 2 !Mais à fond, tous les jours, on ne fait pas semblant quand on cherche nous !), on a accroché sur une maison mitoyenne de 75 m², jardin de 23m², petite terrasse couverte, garage, wc, buanderie, grand salon-cuisine au rez-de-chaussée, trois chambres et salle de bains à l'étage.
Après négociations, il serait possible de créer une salle d'eau à l'étage, et en plus il y'a un conduit pour une cheminée ! Le Rêve!
Sauf que le Rêve, déjà situé près d'une ligne de chemin de fer (mais on entend rien hein), et bien, grâce à une riche idée de cette saloperie de connerie de Région va se retrouver à 250 mètres d'une route pour poids lourds.
La haine. J'ai la haine.
Si jamais on achète, jamais on ne pourra revendre...
Nous allons donc rester dans nos petits 37m² douillet...POUR L'INSTANT!
Qu'on se le dise, la chasse au logement est ouverte !
